Tous les livres écrits par: Christine ANGOT

Christine ANGOT, Un amour impossible

Un amour impossible

Christine ANGOT raconte l’histoire de ses origines. Rachel, sa mère, juive, est de condition modeste. Elle rencontre Pierre, un homme de bonne famille. Ils ont un enfant, Christine, qu’il reconnaîtra sur le tard, qu’il violera des années durant. L’auteur se livre à une critique de la raison sociale. Devant sa mère, elle emprunte le langage de son père pour faire le procès auquel il a échappé, et rend son verdict en en appelant à la lutte des classes, à la guerre des mots. L’amour est impossible, la vie perdue d’avance?

Christine Angot, Une semaine de vacances

Une semaine de vacances

Christine ANGOT fait le terrible récit d’un abus sexuel répété durant une semaine. Un homme, professeur distingué, a la garde d’une adolescente pour une période de congé, en l’absence de la mère. Il abuse d’elle sans violence, par une contrainte avant tout morale. L’écriture de la romancière est à l’image de ces faits : froide, presque neutre, violente, terrible: insupportable presque.

Christine Angot, Les petits

Les petits

Billy rencontre Hélène. Ils auront beaucoup d’enfants et ne seront pas heureux.Elle aura la garde des enfants; il devra se battre pour garder un contact avec eux. Christine ANGOT fait le portrait d’un couple qui naît et se déchire, qui meure et ne survit plus que dans la violence avec les enfants pour otages: police, prison, avocats, tribunal, médiation. Un beau livre-vérité ! L’auteur est la comptable des petites manipulations qui font d’une femme une mère abusive.

Chritine Angot, L'inceste

L’inceste

Christine ANGOT
Sujet : Angot! Christine ANGOT est la prêtresse de l’autofiction. Elle raconte la fin fin d’une courte relation homosexuelle avec MC. C’est l’occasion de revenir sur l’inceste imposé durant son adolescence par son beau-père. Fond et forme se rejoignent, dans un récit éclaté pour décrire une situation perturbée.

Christine Angot, Le marché des amants

Le marché des amants

Écriture de l’intime, monstration du quotidien. La littérature de l’ego relate par le menu la vie de tous les jours. Elle fait parler les détails, le superflu, l’anecdotique, jusqu’à … une certaine fascination! L’amour, le sexe, le beau, le laid : tout nous est raconté. Les détails s’accumulent et forment un ensemble prenant, un tableau, un beau portrait.