Tous les livres écrits par: Tom LANOYE

Tom Lanoye est un personnage célèbre dans son pays. Depuis vingt ans, il défraie la chronique littéraire de Flandre et des Pays-Bas. Dès ses études à l’Université de Gand, il déclame ses propres textes sur la scène de divers cabarets littéraires. En 1985, il conquiert la notoriété avec Un fils de boucher avec de petites lunettes. Suivent à partir de là nouvelles, romans, essais, recueils de poèmes et pièces de théâtre dont deux, Méphisto for ever et Atropa, la vengeance de la paix furent montées en France et firent sensation en Avignon en 2007 et 2008, avant d’être représentées au Théâtre de la Ville de Paris et de tourner dans tout le pays. Il allie un regard sarcastique sur la société flamande avec une tendresse ironique et lucide.
– texte extrait du site des éditions de la Différence.

Tom LANOYE, Troisièmes noces

Troisièmes noces

Mariage blanc avec une jeune femme noire : c’est la proposition étonnante qu’accepte Maarten Seebregs, homosexuel de 50 ans habitant Beveren. Le narrateur est de plus malade, au chômage, et déprimé après la mort de son compagnon, Gaëtan, avec qui il a partagé la vie. Tamara et son futur époux forment un duo typique des films de comédie. Tout oppose au début ces deux êtres qui finissent par se rapprocher, dans un récit picaresque.

Tom Lanoye, Les boîtes en carton

Les boîtes en carton

Ces boîtes en carton sont les symboles qui jalonnent pendant près de 10 ans l’existence de l’auteur dans le pays de Waas. Tom Lanoye ouvre ces boîtes sous nos yeux pour dévoiler les souvenirs de jeunesse: son milieu familial, les voyages organisés par la mutualité, les années de collège, et cet amour dévorant pour un jeune condisciple. C’est souvent truculent, toujours sympathique, extrêmement savoureux. De petites boîtes à trésors.

Tom Lanoye, La langue de ma mère

La langue de ma mère

L’auteur flamand Tom LANOYE raconte la vie de sa mère dans un récit truculent. C’est l’histoire de sa mère qui, à la suite de plusieurs accidents cérébraux, a perdu sa langue, sa dignité, et la vie.
C’est l’occasion de dresser le portrait de sa maman, personnage haut en couleur, mais c’est aussi le récit de sa vie passée dans le Pays de Waas dans la boucherie que tient son père. Le tableau montre une Belgique fort attachante, une Flandre foisonnante, et devient une vraie profession de foi romanesque.